Témoignages des patients en sexothérapie
J’ai rencontré Mme Burette sur pression de mon mari. Je le sentais s’éloigner après une prise de poids, il est allé jusque me proposer de la chirurgie esthétique… Je n’arrivais plus à assumer mon corps dans l’intimité avec lui, donc fin de nos relations sexuelles. Je sais aujourd’hui d’où me vient cette angoisse de lui déplaire et j’ai conscience de la dépendance qui m’unit à lui, et je comprends ma prise de poids. Je n’ai pas résolu tous mes problèmes mais j’ai compris beaucoup de choses sur mon image, mes relations, et sur mon corps surtout. Mon témoignage peut paraître flou mais j’ai pu renouer avec mon désir, et mon regard sur moi a changé.
S, 46 ans
Je souffrais de vaginisme suite à des attouchements. Ayant entamé une relation sérieuse, j’étais dans l’incapacité d’avoir un rapport sexuel avec pénétration. Madame Burette m’a mise en confiance, a été présente et d’une grande aide pour que j’avance. J’ai pu me libérer de ce problème sexuel (et tout ce qui allait avec), je me suis sentie 100% soutenue et comprise pendant cette période difficile.
K, 22 ans
Ma vie a basculé après un cancer du sein. Après les traitements, j’ai eu de grosses difficultés à « refaire surface » tant dans ma vie professionnelle que dans ma vie privée et sexuelle, un tsunami sur le rapport à mon corps, perte de désir… Virginie Burette m’a particulièrement aidée pour reprendre une vie « normale » dans la sexualité. Elle a su par son écoute attentive me permettre d’oser parler, et c’est difficile sur ce genre de sujet, c’est très intime. Par étapes, plein de sujets, ça a été édifiant pour moi, et libérateur.
C, 47 ans
Lorsque j’ai pris rendez-vous, je n’étais pas très confiante. Attouchée par un proche, je ne suis jamais arrivée à avoir une sexualité « normale ». Avec mon copain c’était compliqué malgré sa patience. Grâce à mon suivi en sexothérapie avec Mme Burette, j’ai pu découvrir une sexualité « classique » et me réconcilier avec moi, j’ai dépassé de nombreuses émotions et des blocages. Ca n’a pas été simple et j’ai beaucoup pleuré mais ça vallait le coup.
N, 29 ans